Le pantalon qu’il me faut
Oui et donc hier, il y a ce « collègue » (en fait, il loue des bureaux dans notre théâtre) qui me salue et qui cherche mon directeur. J’étais en rendez-vous, du coup je lui réponds qu’il va arriver un peu plus tard, qu’il devra repasser.
Plus tard dans la journée, il revient, va voir mon directeur, discute. Puis il passe la tête par mon bureau, il me demande un truc et me dit : Dis donc, t’as maigri toi non ? Moi : bah non, je crois pas. Lui : ok, bon allez salut.
J’y repense après. Sa remarque ne me gêne pas, juste que je suis sure que je n’ai pas maigri, pourtant j’ai un doute. Je réfléchis, je réfléchis. Non, non, c’est pas ça. d’un coup, je pense savoir le pourquoi de sa remarque.
Un regard qui en dit long
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Pour une fois, je ne suis pas très pressée. Je peux prendre mon temps pour partir. Je cherche mes clés, j’enfile mon blouson, je cherche mon portable.
Fuck, il s’est encore planqué dans une mystérieuse faille spatio-temporelle.
Je farfouille un peu partout quand un éclair de génie me rappelle qu’il est là où il est très souvent quand je le cherche frénétiquement avant de partir. Dans mon sac. Hum. Je le sors, voit un message, le lit et commence à y répondre. Je relève la tête, je me vois dans le miroir de l’entrée.
Je me vois. Enfin, je veux dire, je me vois, vraiment.
Rappelons qu’anatomiquement les yeux ne se trouvent pas au niveau des seins
Escalator du métro.
Je rentre d’une soirée resto-théâtre très sympa. Je porte une longue jupe de gitane et un débardeur made in Thaïlande tout ce qu’il y a de plus basique. Devant moi, un homme. La trentaine, cheveux longs, de petites lunettes.
Pendant ce « périple » en escalator, il se met sur le côté et regarde derrière lui. Puis il se décale un peu plus et se met de 3/4. Je lève la tête de mon bouquin et voit qu’il regarde derrière moi. Je replonge la tête dans mon livre. Je relève à nouveau la tête et là
Les découvertes d'Élosya 